TOURBILLONS ET VORTEX 2
Disons que nous avons trouvé un procédé capable de défier la pesanteur (j’y suis presque :-)) notre cellule, moteur et chargement ne sont plus soumis au poids. Néanmoins on se déplace toujours dans l’air et par conséquent, si nous n’avons plus besoin de portance, nous avons toujours besoin de pouvoir diriger et d’être stabilisé. Dans ce cas, utiliserions nous le même système d’aile et d’empennage ? Dans quelles proportions (surface aile, envergure, profil…) ? Pourrait on utiliser un autre procédé plus efficace ?
En admettant qu’il soit possible de se soustraire à la gravité (!!!), si l’appareil n’est pas destiné à du vol stationnaire, les plans aérodynamiques restent ce qu’il y a de plus simple (et de plus léger) pour commander les évolutions. Bien entendu, si la masse à sustenter est nulle, les surfaces pourront être réduites à leur strict minimum... du moins si les effets inertiels de la masse sont également nuls.
Reste qu’il faut encore tenir compte de la stabilité : Même les fusées, les missiles et les flèches des indiens possèdent des plans de stabilisation... placés à l’arrière (question de foyer) !